2025 : une année de consolidation, de terrain et de choix assumés
Une année intense, fatigante… mais passionnante
L’année 2025 n’a pas été une année de coups d’éclat.
Elle a été intense, fatigante parfois, mais surtout passionnante et structurante.
Si je devais la résumer en une phrase :
👉 je me suis forcé à certains moments, et ça en valait la peine.
Avec le recul, cette année marque clairement une phase de consolidation.
Consolidation de ma posture de formateur en marketing digital, de mon approche de la communication locale, et de ma manière de travailler, sur le terrain comme en formation.
Former à la communication locale, concrètement
Former reste le cœur de mon activité.
Et en 2025, j’ai encore confirmé une chose essentielle : on peut être exigeant tout en restant humain.
Il y a eu énormément de situations rigolotes avec les étudiants.
Des échanges francs, parfois très spontanés, souvent très justes.
Mais certains moments marquent plus que d’autres.
Un jour, deux étudiantes viennent me voir après un cours :
« On a regardé le film que vous nous aviez conseillé. On comprend mieux maintenant. »
Une autre fois, une ancienne étudiante m’écrit pour me dire que ce qu’elle avait appris deux ans plus tôt lui sert aujourd’hui dans son travail.
Et qu’elle pense que je suis « fait pour ça ».
Ce sont ces retours-là qui donnent du sens à la formation en communication locale : quand la théorie devient utile sur le terrain, bien après le cours.
Une manière d’enseigner qui évolue
En 2025, j’ai aussi fait évoluer ma pédagogie.
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Plus de préparation.
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Plus d’individualisation.
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Plus de travail en amont.
Former aujourd’hui, ce n’est plus réciter un programme.
C’est s’adapter aux profils, aux réalités des entreprises, aux contraintes locales.
C’est aussi accepter que certaines intuitions se confirment avec le temps.
Sur les usages, sur les outils, sur la place de l’humain dans la communication.
Le terrain : collaborations et réalité locale
Côté terrain, plusieurs collaborations ont marqué l’année.
Notamment :
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la collaboration avec le FC Pavie,
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le travail avec CCI Formation du Gers,
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et une collaboration avec MDA Performance, autour de problématiques de structuration, de performance et d’organisation.
Le terrain rappelle toujours la même chose :
👉 la communication locale ne fonctionne jamais sans méthode.
Les calendriers de fin d’année préparés dans l’urgence.
Les contenus à produire au dernier moment.
Les décisions rapides, parfois imparfaites, mais nécessaires.
Ces situations m’ont appris énormément sur le management, la coordination et la réalité des projets locaux.
Réseaux sociaux : désillusion et prise de recul
En 2025, une conviction s’est renforcée :
👉 les réseaux sociaux, seuls, n’apportent rien.
Ou plutôt :
ils n’apportent rien sans stratégie, sans cohérence et sans humain.
Ma première vidéo avec l’accroche :
« Yo les brothers »
a suscité des réactions inattendues.
Parce que c’était simple.
Parce que c’était naturel.
À l’inverse, j’ai repoussé pendant trois ans la création de mon site internet.
Je l’ai enfin mis en ligne en 2025.
Et je n’en suis toujours pas totalement satisfait.
Preuve que publier n’est pas le plus dur.
Assumer sa communication, l’est beaucoup plus.
IA et communication : un tournant, pas une solution miracle
Impossible de parler de 2025 sans évoquer l’IA.
ChatGPT est clairement l’outil qui m’a fait gagner le plus de temps, notamment pour :
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l’organisation,
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la structuration,
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la préparation de contenus et de formations.
Mais l’année a aussi confirmé une limite claire :
👉 l’IA ne remplace pas la réflexion humaine.
Ce qui fonctionne aujourd’hui en communication locale :
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le face caméra,
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le naturel,
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le vécu,
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l’humain.
On assiste à la fin de certains formats artificiels, trop lisses, trop vides.
Et à un retour vers des contenus plus simples, mais plus sincères.
Vie personnelle : un vrai point de bascule
Janvier 2025.
J’apprends que je vais être papa.
Et sans exagérer, cette annonce a lancé toute mon année.
Le rapport au temps change.
Les priorités aussi.
J’ai volontairement réduit certaines choses.
Et malheureusement, j’ai aussi moins dormi.
Mais surtout, j’ai commencé à trier :
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les missions utiles,
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les projets alignés,
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et ceux qui prennent plus qu’ils ne donnent.
Ce que 2025 a confirmé sur la communication
Cette année m’a rappelé plusieurs vérités simples :
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Les grandes agences de communication qui vendent du vent ne font pas forcément performer.
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L’humain fonctionne mieux que les promesses creuses.
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La communication coûte cher, toujours.
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Les habitudes sur écran évoluent lentement, bien plus lentement qu’on ne l’imagine.
Au final, les seuls leviers durables restent :
👉 le travail, l’écoute et l’action.
Cap sur 2026 : structurer avant d’accélérer
2026 ne sera pas l’année où je ferai plus.
Ce sera l’année où je ferai mieux.
Je refuse désormais :
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les missions faites à l’arrache,
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le flou,
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l’improvisation permanente.
Je veux amplifier :
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les missions organisées,
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la formation en communication locale,
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l’accompagnement humain et structuré des entreprises.
En conclusion
Que vous choisissiez d’automatiser une partie de vos tâches ou de confier votre communication à un expert, l’essentiel reste le même : sortir de l’improvisation.
Une communication structurée vous permet de rester présent sans être esclave de vos outils.
Bien évidemment, cette structure doit laisser de la place à l’actualité, aux tendances et au terrain.
Car c’est souvent là que naissent les contenus les plus pertinents.
👉 Découvrez aussi comment je suis devenu formateur de marketing digital.
👉 Découvrez mes 10 conseils pour développer sa communication local.
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